Dolls France 
La dernière enquête sur la sexualité des Français remonte à l’été 2017. Menée par l’Ifop, celle-ci a été réalisée sur un échantillon de 2000 personnes et porte sur leurs désirs et leurs fantasmes durant l’été. Résultat ? Un certain nombre de vérités plutôt surprenantes sur ce que désirent les Français. On vous dit tout.
Les conclusions d’une enquête représentative
Selon les conclusions de l’Ifop, il a été mentionné que plus de la moitié des Français soit exactement 56 % a « plus souvent de rapports sexuels » pendant les vacances estivales. Plus loin, 55 % d’entre eux avouent profiter de cette période pour « assouvir leurs fantasmes ».
57 % ont pour habitude d’avoir des rapports sexuels dans un cadre différent du quotidien classique (soit au coucher notamment). Le même pourcentage profite de ces vacances pour réaliser un lâcher-prise et écoutent leurs pulsions.
Lorsqu’on se penche sur les fantasmes de chaque catégorie, 25 % des femmes aimeraient faire l’amour avec un professeur de sport, un surfeur ou un secouriste. Quant aux hommes, ils sont 41 % à imaginer la même chose, mais avec une voisine rencontrée fortuitement sur leur lieu de vacances.
La dernière analyse faite montre que 16 % des femmes et 34 % des hommes en couples envisageraient un changement de partenaire entre les mois de partenaire sexuel entre les mois de juillet et août. D’un autre côté, ils sont très peu (6 %) hommes et femmes confondues qui étaient en couple souhaitant quitter leurs partenaires pour passer les vacances en tant que célibataire.
Les Françaises plus que jamais insatisfaites (une sur trois)
Ici, il s’agit d’une autre étude de l’Ifop qui servira de base de données. Elle a été menée en 2021 pour le compte de l’observatoire européen de la sexualité féminine et conclut que 35 % des femmes françaises seraient insatisfaites sexuellement. Un pourcentage en hausse de 4 points depuis 2016.
Quoi qu’il en soit, encore plus récemment (en 2023) une étude de l’Ifop montre que la plupart des célibataires français sont romantiques. 63 % des moins de 25 ans et 72 % chez les 50-60 ans. 57 % d’hommes et 74 % de femmes.
« La nouvelle révolution sexuelle » publiée par Le Figaro santé reprend certaines données de l’Ifop et en ajoute certaines afin de conclure que 23 % des hommes ont des éjaculations précoces, 55 % affirment avoir des difficultés sexuelles et 34 % des 40-70 ans présentent des troubles érectiles.
Des désirs et des manques que de plus en plus de français et de Française tentent de combler en ayant recours à des jouets et à des poupées sexuelles. La plupart pour assouvir des fantasmes, d’autres satisfaire se procurer du plaisir à tout moment.
